Il ne fait aucun doute que des progrès ont été réalisés, les taux d’infection et de mortalité ont considérablement diminué1au cours des deux dernières décennies. Cependant, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, les avancées restent difficiles au Nigéria et au Mozambique. Les communautés à risque, qui représentent près de la moitié de la population mondiale2, auront donc besoin d’un soutien inconditionnel pour progresser.
ExxonMobil a fait un don de plus de 170 millions de dollars sur près de 20 ans pour lutter contre cette maladie. Ces donations soutiennent les organisations tant locales que mondiales qui développent des initiatives de sensibilisation du public, distribuent des moustiquaires et des traitements, et forment du personnel de santé sur place.
Didier Kemadimadji Djemba est l’une de ces personnes, il dirige le centre de santé de Doba, l’une des nombreuses cliniques au Tchad soutenues par la Fondation ExxonMobil.
«Les progrès que nous avons réalisés sont principalement le résultat d’améliorations dans la prise en charge de la maladie du paludisme », déclare Didier. « Cela inclut une formation continue du personnel de santé, une supervision coopérative et la disponibilité accrue de ressources telles que les médicaments, moustiquaires et matériel nécessaires à l’éducation des communautés. »
Le personnel de santé tel que Didier jouent un rôle crucial dans la lutte contre le paludisme car ils administrent les traitements essentiels sur le terrain et informent les populations locales aux moyens de prévention de la maladie.
En cette Journée Mondiale de Lutte contre le Paludisme3, voyez comment des personnes telles que Didier, au Tchad comme dans le monde entier, continuent de se battre pour leurs populations locales dans la lutte contre la maladie.
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